Karam
FABRICATION D’UN TEXTILE
Arras,
capitale internationale de l’activité lainière, tissage, teinture, vente à des
clients étrangers qui vont emporter nos productions à l’autre bout du monde.
C’est la réalité d’Arras aux XII siècle qui
achète la laine des moutons anglais, la traite, la transforme, la vend sur deux
grandes places qui existent encore à
marchands italiens qui par la vallée de l’emporteront sur la route de la soie.
Cette magnifique activité périclité car les
ouvriers trop exploités se sont mis en grève et les Etats Flamands ont pris à
leur profit ce marché locatif qui s’est déplacé à l’Est par la vallée du Rhin
et Arras a dû se contenter de l’artisanat de la tapisserie au XIV siècle.
De
même à notre époque, dès le XIX siècle
les industriels grâce à des machines de plus en plus performantes en
Angleterre dans le nord de la France, à Lyon ont inondé le monde de leurs
magnifiques produits de lin de laine, de coton, de soie.
Dés ouvriers en travail posté nuit et jour sur
les filatures sur les métiers à tisser ont assuré la fortune des industriels de
textile, mais ceux-ci ont décidé au milieu du XX siècle une restructuration de
l’activité pour trouver en Asie des ouvriers encore moins payés : en Inde,
en Chine, nous restons bien sûr les donneurs d’ordre les concepteurs, les
designers et ce sont marques qui font les profits.
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ReplyDeleteImport textile dans en gros de Chine