Le voyage de PENG

1.         Arrivée en France :

Je me souviens que le premier jour où je suis allé en France, ce n’était pas un jour ensoleillé, comme mon cœur lourd, parce que j’ai pensé à mes parents. Après en prenant les valises, j’ai acheté le billet de train qui m’amené à Arras.

Je suis sorti à la gare d’Arras et je me suis adressé à un monsieur gentil qui m’a dit où était l’université d’Artois, j’avais l’air confus, parce que je n’ai pas compris qu’il m’avait dit. Et, puis j’ai marché sur une route que je n’avais pas connu en prenants deux valises, mon dieu ! Peut être il existe un dieu, un homme qui avait promené son chien, il m’a ramené à l’université. J’ai oublié où était sa maison, je souhaitais envoyer un cadeau au monsieur, c’est triste !

Après l’inscription, la vie universitaire a commencée.

2.         Partie individuelle :

J’ai décidé d’aller à Bruxelles, parce que c’est la ville internationale qui est à coté d’Arras. Il y a une question qui me trouble, c’est que le prix du train en France est variable. C’est différent de la Chine car notre prix est fixe.

À Bruxelles, j’ai visité la statue la plus connue qui s’appelle Manneken-Pis, j’ai entendu dire qu’il y avait une histoire raconte qu'un enfant aurait éteint la mèche d'une bombe à sa manière, car les ennemis de Bruxelles voulaient détruire la cité avec la bombe. Et sur la grande place, j’ai essayé la gaufre de Bruxelles, dite « gaufre belge ». Beaucoup de sucres, j’aime les gaufres qui ont des pièces de bananes ou autres fruits sur elles, c’est mieux.

Autre chose qui m’intéresse, il y a trois langues utilisé dans la ville, l’allemand, le néerlandais et le français, comme les panneaux indicateurs qui sont écrites par les trois langues, et le bâtiment de l’union européenne se situe dans cette ville.      

Le premier jour de la Toussaint, je suis allé à Lille. Dans la cathédrale qui se situe au centre ville, j’ai vu que les gens assistaient à la messe. Même si je n’ai pas compris mais je m’intéresse aux activités culturelles.

Et, puis j’ai continué à marcher sur la route au centre ville, il y a un marché animé comme le marché qui se déroule sur la grande place d’Arras chaque samedi. Dans le marché, j’ai essayé l’alimentation marocaine devant le stand, le thé à la menthe, c’était pas mal ! Les enfants des gitans suivaient toujours des gens pour l’argent, un petit garçon, il m’a dit qu’il avait faim, et puis je lui ai donné mon thé, je ne voulais pas, mais c’était un peu embrassant.  

C’est vrai que dans le nord de la France, c’est plus froid. Moi, j’ai habité au sud de la Chine, donc, c’est un peu difficile de m’habituer à la température ici. Mais, autre part, c’est aussi une nouvelle expérience, il faut changer notre vie et essayer les choses nouvelles.